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Les médias numérique bouleversent ils le modèle médiatique papier ?

13 avril 2015

Conclusion:

Le numérique pourrait –il être l’essentiel de l’information de demain ? 

A la suite des ces différent articles nous pouvons dire que le web facilite le journalisme d’enquête mais qu'il ne doit en aucun cas oublier le respect des règles du journalisme. Le web permet d’offrir des qualités d’éléments d’informations que l’on ne peut retrouver dans les médias papier. Parmi eux on peut citer les enregistrements, les rapports en pièces jointes de 100/200/300 pages, les vidéos ou encore les fichiers audio. On retrouve donc une certaine rivalité entre média numérique et média papier. Basé sur les récits multimédias, le participatif et l'imédiateter le journaliste doit se réinventer si'il veut survivre au milieu de cette révolution numérique. 

De ce fait le journaliste doit réinventer le journalisme.Il ne s’agit donc pas d’une nouvelle page qui se tourne, mais d’une nouvelle histoire qui commence !

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13 avril 2015

L'urgence d'une éducation citoyenne aux médias numériques

Le développement d’Internet et du numérique transforme profondément les médias, à la fois dans l’accès à l’information que dans la production de cette dernière avec l’émergence fulgurante des RÉSEAUX SOCIAUX. Cela a bien sûr un impact sur les médias eux-mêmes mais aussi sur leurs utilisateurs qui sont désormais parties-prenantes de la production d’information. Et ce, sans vraiment être formés comme le sont par exemple les JOURNALISTES

L’éducation nationale n’a bien sûr pas attendu l’arrivée d’Internet pour faire de l’éducation aux médias et elle s’appuie notamment depuis plus de 30 ans sur le centre de liaison pour l'enseignement et des médias d’information le CLEMI pour remplir cette mission. Mais aujourd’hui, les récents évènements dramatiques du début d’année ont mis en exergue une dure réalité. Un jeune sur cinq croit à la théorie du complot concernant les attentats et cette « croyance » est largement alimentée par ce que véhicule Internet et les réseaux sociaux. Face à cette réalité préoccupante, une vaste mobilisation est désormais lancée pour permettre une réelle éducation citoyenne aux nouveaux médias et au numérique, car désormais, les médias sont numériques et cela change beaucoup de choses.

L'urgence d'une éducation citoyenne aux médias numériques

13 avril 2015

Executive Master Management des médias et du numérique - Sciences Po:

Référence incontournable dans le secteur des médias, l'Executive master Management des médias et du numérique se projette dans l'avenir pour répondre aux demandes des entreprises de médias en matière de professionnalisation du management. Son programme est issu d'une réflexion permanente du secteur professionnel et de l'École de JOURNALISME de Sciences Po. Sa conception pédagogique, adaptée à un public de professionnels, alterne apports théoriques, études de cas pratiques, mises en situation appliquées au management d'équipes, témoignages et échanges d'expériences.

Manager des médias : comment conduire les équipes dans la triple mutation technologique, économique et éditoriale que vivent les médias ?
Présentation de l'Executive master Management des médias et du numérique par Nicolas Beytout, directeur de l'Executive master, fondateur et patron de l'Opinion, avec les témoignages d'anciens étudiants : Jean-Philippe Balasse directeur adjoint de la rédaction d'Europe1, Cédric Beaudou, rédacteur en chef rugby FranceTV et Sarah Drouhaud, rédactrice en chef web Le Film Français.

Executive Master Management des médias et du numérique -Sciences Po

13 avril 2015

Le journalisme est-il soluble dans l’ère numérique ?

La presse est en crise et ce n’est pas nouveau. Le modèle industriel des entreprises de presse est à bout de souffle et l’ère numérique n’a fait qu’accélérer et précipiter un déclin entamé il y a une vingtaine d’années. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer quelques chiffres : en dix ans, plusieurs dizaines de titres ont disparu aux États-Unis et en 2008, 16 000 journalistes américains ont été licenciés alors qu’ils étaient 2 000 à perdre leur emploi en 2007. En France, entre 2009 et 2011, le nombre de cartes de presse a diminué de 1089. 

Internet aurait-il pour autant donné le coup de grâce à la presse ? Difficile à dire pour un média qui a déjà survécu à la naissance de la radio et de la télévision. Mais ce qui est sûr, c’est que sa survie ne sera possible qu’au prix d’une réforme sans précédent, car il ne s’agit pas d’une nouvelle page qui se tourne, mais d’une nouvelle histoire qui commence.

La lecture du journal n’est plus la « prière matinale de l’homme moderne ». A travers cette phrase l'utilité même du journal est remise en question. Pourquoi payer pour des informations que l’on peut trouver aisément et gratuitement sur Internet ?

S’il ne veut pas disparaître en même temps que son média, le journaliste doit résoudre une crise identitaire. Quelle est sa place au sein d’une société hyperconnectée qui rejette les modèles payants ou cette surabondance d’informations se déverse chaque seconde sur la toile ? Quelle attitude doit-il adopter face à la concurrence des blogs ou des réseaux sociaux ?

Le journaliste n’est plus le seul à raconter le monde, il a définitivement perdu le monopole de l’information et c’est un tournant majeur dans son histoire. S’adapter ou disparaître, l’ère numérique contraint le journalisme à se repenser et à se réinventer pour survivre. Tout l’enjeu de cette survie du journalisme à l’ère numérique se situe dans la recherche d’un juste équilibre entre un journalisme à l’ancienne nourri d’enquêtes, de reportages et d’expertise, et les nouvelles pratiques apparues sur Internet : discussions et débats en ligne, proximité avec le lecteur, recommandations et interactions entre les différentes sources d’information.

La révolution numérique et son impact sur l’économie de la presse ont engendré l’émergence d’un nouveau type de journaliste : l’« homme-média ». On l’appelle aussi forçat du web, ou l’OS (l’ouvrier spécialisé) de l’information. Jeune, motivé, dévoué, il doit savoir tout faire : écrire, éditer, monter du son, de la vidéo, mettre en page et maîtriser les outils de diffusion de l’information. En clair, il réunit à lui seul l’ensemble des compétences nécessaires à la construction et à la diffusion de l’information.

Le journaliste ne doit plus seulement rapporter l’information, mais il doit la raconter. Pour cela, il faut qu’il s’approprie les nouveaux outils de la narration digitale afin de construire des récits multimédia. À l’ère numérique, seul le journaliste mué en homme-média sera capable de mener ces défis immenses, car finalement ce n’est pas les journaux qu’il faut sauver, mais le journalisme.

13 avril 2015

L'industrie des médias à l'ère numérique !

Les médias changent de modèles de référence. La révolution numérique bouleverse les règles du jeu et les positions de force des principaux acteurs. La possibilité de consommer des journaux, des magazines et des programmes audiovisuels grâce à une simple ligne téléphonique oblige à reconsidérer l’économie des médias traditionnels. 
Les acteurs doivent revoir les principales clés pour comprendre cette nouvelle économie des médias à l’ère numérique. À partir des concepts fondamentaux (bien public, effets de réseaux), ils doivent analyser les modalités de consommation (information sur mobile ou tablette) ainsi que le nouvel environnement face aux nouveaux enjeux et défis de ces secteurs (gratuité, piratage, inter-activité). Ils doivent étudier les stratégies des principaux acteurs et les conséquences des modes de financement sur la nature des contenus offerts aussi bien en termes de qualité que de diversité. L'objectif est aussi de comprendre le rôle de l’État et de la régulation au sein des médias (écrits et audiovisuels) et des instances mises en place comme le CSA, l'ARDP ou encore HADOPI.

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28 mars 2015

Traits dominants de l’information à l’ère numérique

Immédiateté:

Le premier des traits de l’information lié au numérique, particulièrement spectaculaire dès les années 1980, en télévision par exemple, c’est l’accélération du traitement de celle-ci. Cette accélération est telle qu’il est possible de parler de quasi-immédiateté. Le développement des radios et télévisions en continu en sont l’une des manifestations, tout comme le traitement en live de crises ou événements forts.

 


 

Terrain et carnet d’adresses virtuels:

Un second trait caractéristique du traitement de l’information pourrait être décrit comme un mouvement de déplacement du terrain physique en une forme de terrain virtuel.

Il s’agit ici de la part sans cesse plus importante de sources auxquelles les rédactions accèdent via les réseaux téléphoniquebien sûr mais surtout l’Internet sous toutes ses formes des mails aux blogs en passant par les réseaux sociaux et toutes sortes de sites (de médias, d’entreprises, d’acteurs sociaux et d’institutions).

Ce terrain virtuel, chaque journaliste, chaque rédaction le construit et l’enrichit en permanence afin d’assurer une sorte de veille vigilante, et de se garantir de faire partie des destinataires des alertes.

C’est dire qu’en plus d’offrir ce terrain virtuel, le numérique transforme le bon vieux carnet d’adresses, le rendant désormais actif au sens où les multiples contacts qu’il recèle peuvent prendre eux-mêmes l’initiative de prévenir le journaliste qu’un événement est en train de se produire.

 


 

Récits multimédias:

Le troisième trait caractéristique de l’information à l’ère numérique, le plus valorisé depuis l’origine par les journalistes du Web ou des évolutions de chaque média est la construction et la conception de récits et contenus multimédias. Il s’agit là d’inventer des modes de traitement de l’information et formes de récits combinant texte, son, image et liens hypertextes. Aujourd'hui de véritables formes originales de Récits multimédias émergent.

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Le Participatif:

Autre trait caractéristique de l’information valorisé par les tenants de la « Révolution Internet » consiste dans leparticipatif ou contributif, symbole du Web 2.0 soit l’interrelation entre le journaliste et l’amateur.

Les formes et les degrés sont très divers. Allant du simple commentaire à l’enquête coréalisée par les internautes et les journalistes.

Ce sont plus communément les blogs, les forums et de plus en plus le suivi des réseaux sociaux avec l’animation de pages groupes ou comptes sur Facebook et Twitter. Plus exceptionel cela peut prendre la forme de la conférence de presse en ligne.

 

C’est peu dire que la conception même du journalisme et la manière de le pratiquer sont à réfléchir, repenser et expérimenter au sein de multiples sites d’informations.

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28 mars 2015

Émergence de nouveaux médias

Pour commencer il serait intéressant de se poser la question si Internet est-il, à proprement parler, un nouveau média ou le support de nouveaux médias, parmi lesquels, la presse en ligne ?Nombre d’auteurs y voient le « média des médias » sur lequel se retrouveraient les médias traditionnels, ainsi que de nouvelles formes éditoriales.

Internet a rapidement transformer les fonctionnalités de la presse écite, alors même que les supports permettant d’y accéder se diversifient rapidement : smartphones, tablettes, aujourd’hui e-paper et d’autres dispositifs en cours de développement dans les laboratoires. Le choix du terminal mobile n'est pas à prendre à la légère car chaque terminal comprend ces qualitées ainsi que ces défaut. Chacun de ceux-ci permet des usages différents comme par exemple une meilleur mobilité ou encore une meilleur qualité du visuel. 

Sur Internet et ses nouveaux supports cohabite un vaste ensemble d’activités de natures très différentes : communication interpersonnelle (mails, chats), sociabilité virtuelle des réseaux sociaux (Facebook, Twitter), services, échange de musique ou de vidéos, e-commerce, promotion des hommes et des idées (sites, blogs, groupes Facebook et comptes Twitter etc..) et bien sûr information de type journalistique. Elle n’est ni la plus massive, ni la plus rémunératrice. Elle n’est que rarement rentable. Pour l’utilisateur, l’activité professionnelle cohabite, voire s’imbrique avec l’information mais aussi le divertissement, la relation et la consommation.

D’emblée les médias traditionnels ont vu dans Internet une opportunité, voire une menace6 les conduisant à s’y diversifier sous des formes variées. Le Monde par exemple crée un service multimédia en 1994, ses informations sont accessibles sur le net en 1995. La même année, Libération, L’Humanité, Le Parisien, les Dernières Nouvelles d’Alsace, Ouest France, etc..créent leur propre service sur Internet. Aujourd’hui il existe certainement peu de titres de presse écrite et certainement de médias qui n’aient une ou plusieurs applications en ligne, sinon accessible via les smartphones ou les tablettes.

Des acteurs nouveaux, dit pure players, d’abord peu nombreux y ont fait leur apparition, tel Salon ou Slate, aux États-Unis. Depuis le milieu des années 2000, ces pure players d’information se sont multipliés. En juin 2011, le Huffington Post a dépassé l’audience de Nytimes.com (New York Times). Les pure players d’information sont une dizaine en France. De nouveaux venus font régulièrement leur apparition, tel Owni en 2010 ou Atlantico, en 2011.

28 mars 2015

Transformation des médias traditionnels et des manières de travailler des rédactions

La numérisation de l’information a grandement transformé les médias traditionnels en favorisant l’accélération du traitement de l’actualité. Radios et télévisions traitent des événements exceptionnels ou particulièrement forts dans l'histoire.  Ces difusions prennent un caractère très spectaculaire en 2001, avec les attentats au World Trade Center. Le monde entier vois alors l'attentats en image. Grace au numérique l’information peut être disponible dès le lendemain.

La numérisation a également permis dans chacun des médias d’alléger les structures techniques mais aussi rédactionnelles. En même temps remontaient vers les journalistes d’anciennes tâches techniques comme la mise en page, le montage ou encore des prises de son.

Grâce aux banques de données, banques d’images, puis à l’Internet, les rédactions ont progressivement accédé à une multiplicité de sources, de toutes natures, conduisant à repenser les conditions dans lesquelles les journalistes doivent se porter physiquement sur le terrain.

Simultanément, avec le numérique, des concurrents comme les sites d’annonces (Craiglist, Monster, etc.) et plateformes d’échanges siphonnent les petites annonces. Entre 2003 et 2007, Le Figaro, par exemple, voit son chiffre d’affaires de petites annonces passer de 97 millions d’euros à 25 millions. Parallèlement, une multiplicité d’intervenants (portails, moteurs de recherche, sites aux contenus et objets les plus divers) s’emploient à capter une part substantielle de la publicité commerciale.

On peut donc dire que les modèles économiques des anciens médias sont à réinventer, avec une urgence particulière pour les quotidiens.

29 janvier 2015

L'importance d'un support médiatique

Longtemps considérer comme un véritable eldorado, le web a perdue de sa superbe. En effet, sur les dernières études il ne figure pas sur les stratégies des médias en ligne.

Le ralentissement de la croissance des revenues publicitaire, les positions dominante de plateforme comme Google ou encore la transition Mobile ont amené les acteurs du web à repensé leurs stratégie.

La transition mobile est l'un des chantiers prioritaire des médias numériques. Selon des projections, le taux de l'utilisation du web sur mobile et sur tablette atteindrait 80 % et 65 % à l'horizon 2018 contre envions 45 % et 25 % aujourd'hui.

Le défit de cette transition mobile est double. Non seulement les médias sont consommer sur un terminal aux propriétaire très différente mais en plus l'essentiel de la consommation passe par des application et pas par des mobile de sites web. Cette migration mobile soulève de nombreuses question encore largement non résolut. Notamment celle de la monétisation de cette audience mobile ou encore de dépendance.

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28 janvier 2015

Les médias à l'ère numérique

Le numérique est l’un des facteurs puissant de la transformation actuelle des médias. Mais qu’entendre par numérique lorsqu’il concerne l’information journalistique et les médias ?

La formule la plus classique consiste à présenter celui-ci comme la rencontre entrel’informatique et les télécommunications, intervenue dès la fin des années 1960.

Concernant les médias, il s’agit d’abord de l’augmentation continuede la puissance des ordinateurs alors que leur taille et leur prix diminue régulièrement. Les « mini-ordinateurs » vont entrer dans les entreprises de presse dès les années 1970. Ils permettent la numérisation des textes. Les années 1980 voient apparaître les « micro-ordinateurs », utilisables dans des langages accessibles au plus grand nombre, sur le lieu de travail comme à domicile ils ont joués un rôle considérable dans les médias numérique. 

Le numérique permet une rupture dans les modes de traitement de l’information. En effet, engagée il y a maintenant quatre décennies, la numérisation s’opère à des moments et des degrés différents selon les médias. La plus grande facilité à digitaliser les textes et le moindre volume de données à transporter permet des transformations plus rapides dans la presse écrite. Il est alors possible de parler d’un axe de diversification « texte-informatique ».

Les années 1990 verront le même processus s’engager dans les radios et télévisions, avec l’abandon progressif de l’analogique, alors même que les médias en ligne s’enrichissaient de vidéos et fichiers audio, avec le développement de l’ADSL à partir de 1999.

On peut donc se demander quel est le devenir du modèle traditionnel qui depuis des années porte nos informations

 

 

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Les médias numérique bouleversent ils le modèle médiatique papier ?
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